La quête de sens insatiable du Chaser.

Depuis maintenant 4 ans que je fais du coaching flamme jumelle, ou plutôt de personnes se considérant flamme jumelle, je ne cesse de constater des “piliers” communs en termes de psycho-émotionnelle.

Quand il s’agit de guérison des traumas, il est un angle d’attaque qui n’est presque pas utilisé, mais qui pourtant, est le plus efficace.

Conséquence de quoi peu de personnes vont l’utiliser puisqu’elles n’en ont pas eu connaissance. Quand c’est le cas, c’est un chouia délicat à comprendre et à appliquer mais avec un peu d’effort, on y arrive.

Ensuite on est en roue libre pour guérir presque n’importe quoi.

L’erreur que fait la majorité des gens

Commençons par expliquer ce que la majorité des gens fait et qu’il faudrait moins faire au profit de l’autre solution dont nous allons parler ensuite.

Quand on se rend compte que nous avons un trauma, un schéma répétitif, des émotions persistantes, on va chercher à l’extérieur des informations pour essayer de comprendre pourquoi on a cette sensation, ce problème, ce trauma.

Pour l’article, prenons le cas d’une personne qui ressent depuis des années “une sensation de vide en soi“. Ceci est un cas très répandue que l’on soit flamme jumelle ou pas.

Je précise ceci, car souvent les FJ pensent avoir des problèmes spécifiques à la FJ, alors que ce sont des problèmes courant de l’être humain.

Dans cette quête de sens, on va avoir tendance à chercher les réponses aux questions suivantes :

• Pourquoi cette sensation est là ?
• Qu’ai-je fait pour avoir cette sensation ?
• D’ou provient cette sensation ?
• Que veut dire cette sensation ?
• À quel moment est-elle apparue ?
• Est-ce lié à un événement spécifique de mon passé ?

En fait, la sensation est tellement dérangeante que l’on va mentaliser plutôt que de lâcher prise sur cette sensation de vide. Et en terme de guérison :

Ceci est une différence de taille : elle est monumentale.

• La première solution (mentaliser) va “nourrir, donner du grain à moudre” et faire perdurer la sensation pendant des mois, voire des années.
• La deuxième solution (lâcher prise) va permettre à cette sensation de s’en aller et donc de disparaître… à jamais. D’ou la guérison.

Alors pourquoi est-ce une “erreur” de chercher à comprendre?

C’est bien d’avoir envie de comprendre ou de vouloir comprendre quelque chose. Mais…

Eh oui, il y a un mais et il est également de taille celui-là !

Très souvent, quand on est dans cette quête de sens, on pas juste dans une “envie de comprendre un sujet X” mais dans “un besoin de comprendre un sujet X” ce qui est nettement différent.

C’est ce qui est très souvent constaté chez les Chasers de Flamme Jumelle.

Ici, par “besoin de comprendre”, entendre :

• Besoin = Nécessité,
• Besoin = Compulsif,
• Besoin = Pulsion subie,
• Et surtout, la personne arrive difficilement à faire autrement.

Par exemple, si tu dis aux chasers atteints de ce besoin de comprendre d’arrêter de regarder du contenu FJ pendant 1 semaine, tu feras face à une une vague d’AVC et d’arrêts cardiaques illico presto 🤣🤣🤣

Ils ont besoin de regarder ces informations et n’arrivent pas à faire autrement.

En fait, ils sont addicts à ces informations.

Eux vont dire qu’ils “cherchent à comprendre” et c’est en partie vrai mais pas que.

C’est-à-dire que dans ce “besoin de comprendre” il y a en effet l’envie de comprendre mais il y a surtout d’autres raisons et fiouls motivationels qu’on voit moins mais qui sont pourtant là.

Bref dans le besoin de comprendre, le chaser est piloté par son mental ego, ni plus ni moins.

C’est la marionnette de son ego mental qui pense être consciente.

Il y a donc une différence de taille entre :

• Avoir envie de comprendre un sujet X.
• Avoir besoin de comprendre un sujet X.

Si tu veux savoir si tu es dans l’envie de comprendre ton parcours flamme jumelle ou dans le besoin de comprendre, fais le challenge suivant :

Prends la décision de ne regarder aucun contenu FJ pendant 1 semaine.

Vois si c’est facile à faire ou si tu dois résister à mort pour “ne pas regarder de vidéos pendant une semaine”.

Tu auras alors ta réponse. 🤓

Le versant négatif de ce besoin de comprendre

L’autre versant négatif de ce besoin de comprendre, de cette quête de sens, est qu’il est subi et non choisi. D’où le challenge ci-dessus qui met cela en lumière.

Mais le point le plus important est le point suivant…

Ce besoin de comprendre promet une issue positive :

“Si j’arrive à comprendre le pourquoi du comment, j’aurais alors réglé le problème, guéri ou obtenu un soulagement.”

Ceci n’est que partiellement vrai…

Combien de Flammes jumelles se sont tapées pendant des mois toutes les explications possibles et inimaginables et malgré cela, patauge encore dans des états émotionnels déplorables ?

Pourquoi autant de réponses reçues ne produisent pas la guérison ?

Tout simplement car, même si cela a donné un coup de pouce, c’est bien loin d’être suffisant.

Cela montre bien que le besoin de comprendre ne permet pas de guérir, en tout cas pas de cette manière (voir la suite de l’article).

Vouloir guérir un trauma par la compréhension

Vouloir guérir un trauma par la compréhension extérieur de celui-ci, aide, mais c’est très loin d’être suffisant.

Si une personne est réellement dans une recherche pure de comprendre un sujet X, comme ici la sensation de vide en soi, alors elle devrait ouvrir toutes les portes à sa disposition afin d’avoir une compréhension globale du trauma.

Ce qui veut dire :

Chercher des informations à l’extérieur de soi mais surtout à l’intérieur de soi.

Le problème est que,  lorsqu’on est mu par un besoin de comprendre, ce besoin est aussi composé de plusieurs fiouls motivationels.

Un des fiouls motivationnels cachés de ce besoin de comprendre, consiste en fait à trouver des informations qui collent avec notre système de croyance. En somme c’est un biais cognitif. C’est pourquoi par exemple dans le parcours FJ, on se cantonnera à toute explication qui vient expliquer que l’autre est bien ton autre mais que…

On retrouvera alors des variantes de cette explication :

• Flamme Jumelle (une âme coupée en deux)
• Âme Jumelles (2 âmes entières du même oeuf cosmique)
• Syndrome du jumeau perdu (2 ovules, l’un meurt in utero)

Toutes ces théories ont comme point commun : tu es liée à l’autre, l’autre est ton autre et donc du coup X ou Y.

Quand on trouve ces informations, on a un “clic” en nous et une sorte de soulagement et/ou de prise de conscience car on au fond on te raconte ce que tu crois déjà de manière plus spirituel ou “scientifique”.

Cependant le résultat reste le même :

Que ces théories soient vraies ou non, notre état émotionnel n’a pas vraiment changé.

Et les problèmes de fond, toujours pas réglés.

Pourquoi le problème n’est pas réglé ?

Cela tient à un constat très simple :

• Aller à l’extérieur de soi, ne permet pas la guérison complète.
• Aller à l’intérieur de soi, permet la guérison complète.

Aller à l’extérieur de soi apporte un soulagement, un mieux être qui restera très limitée dans sa capacité de guérison et on arrive très vite à un plafond.

Comme c’est la méthode généralement utilisée, car elle est la moins engageante personnellement, puisqu’elle est passive, on continuera de l’utiliser. Cependant, ses effets de guérison se tariront très rapidement.

On prônera alors que “guérir prends du temps”, alors qu’en fait, la méthode n’est plus adapté.

D’ailleurs quand on connait l’étape 2 (l’intérieur de soi) et qu’on l’a maitrise, on n’utilise plus la méthode 1 qui est totalement obsolète.

• L’étape 1 permet de guérir “20%”.
• L’étape 2, même utilisée seule, permet de guérir “100%”.

(Je donne des pourcentage histoire de mettre en avant l’idée, on ne s’y attachera pas trop hein).

Mais il y a un hic et de taille.

Aller à l’intérieur de soi pour découvrir les raisons qui existent déjà et qui maintiennent cette sensation de vide en soi, fait peur à la majorité des gens.

Et c’est pourquoi, de manière “naturelle” on reste bloqué dans la méthode 1 qui est confortable car :

• Lire des articles de blog.
• Regarder des vidéos Youtube.
• Aller se faire un soin énergétique.

Est une démarche passive et peu engageante. C’est la loi du moindre effort.

En fait, c’est la méthode la plus sure afin de ne pas trop chambouler son monde intérieur, mais c’est aussi la plus limite en terme de résultat.

Et si on ne veut pas trop chambouler son monde intérieur, c’est bien car on a peur de ce qui pourrait “remonter” et donc de nos vérités.

En fait, l’humain a peur de sa propre vérité, voilà tout.

Si on est vraiment dans une démarche pure de vouloir comprendre alors on oserait collecter toutes les informations à notre disposition afin de comprendre la situation dans sa globalité, mais ce n’est pas vraiment ce qui est fait.

On évite soigneusement d’entrée en soi, ou toutes les Vérités que l’on cherche sont présente.

C’est dommage non ? Pourquoi se retirer la possibilité de cette fameuse libération que l’on cherche tant ?

Un barbue y a 2000 an disait : la vérité te libèrera.

Enfin je dis cela, je dis rien…

Et c’est pourquoi la guérison prends un certain temps. Soit le temps que la personne mettra pour oser regarder en soi.

Tu peux mettre 5 ans avant d’arriver à oser regarder en toi, et une fois que tu y es, mettre seulement 3 mois à guérir ton trauma.

En tout tu auras mis 5 ans et 3 mois, mais dans les faits :

• 5 ans de fuite,
• 3 mois de travail direct sur le trauma X. 🤣🤣🤣

Guérir prends du temps car on passe bien plus de temps à tourner autour du pot qu’à se confronter au pot.

La peur de regarder en soi

Comme la majorité des gens a peur de regarder en soi, on va alors apposer des étiquettes, des “raisons” qui sont censées venir “expliquer” le pourquoi du comment de cette sensation de vide en soi.

On va alors adhérer à des explications diverses et variées en fonction de notre système de croyance.

• C’est transgénérationnel,
• C’est karmique,
• C’est la flamme jumelle,
• C’est le syndrome du jumeau perdu,
• Ce sont des entités basses astrales,
• J’ai un contrat d’âme avec des entités diaboliques,
• Je suis un starseed,
• Je suis hyper sensible,
• Je suis un HPI/HPE,
• Je suis un enfant indigo,
• Etc… etc…

Imaginons maintenant pour la démonstration, que certaines de ces raisons soient la source de création de “cette sensation de vie en soi”. Car en tout logique, il y a bien eu “un commencement”.

Eh bien, tu sais quoi ?

On en a toujours rien à battre 🤣🤣🤣

On se fiche royalement de la cause du problème, car connaître la cause n’enlèvera pas le problème.

Ce qui va enlever le problème, c’est l’observation du problème et ce, peut importe sa nature ou son origine.

Depuis que tu sais que tu es flamme jumelle universelle en mission divine, que l’autre est ton autre, et que vous êtes divinement choisis pour être ensemble, alors que ce n’est pas le cas, mais que c’est normal car le contrat karmique etc… etc…

Du coup maintenant :

Tu pètes le feu et tu vis ta Best Life ou tu pleures toujours toutes les larmes de ton corps ?

Voilà, je crois qu’on s’est compris ! 🤣🤣🤣

Comme dirait Mulder : la vérité est ailleurs

Si on part du principe que comprendre pourquoi on a le problème X guérit le problème X.

Alors il y a deux solutions.

• Solution 1 : les explications que tu as entendues sur ta situation “flamme jumelle” sont fausses, vu que tu n’es toujours pas libéré.
• Solution 2 : les explications qui peuvent te libérer, tu ne les as pas trouvées et c’est pourquoi tu n’es toujours pas libéré.

Et c’est normal, car les vérités que l’on cherche sont contenues en soi, là où on n’ose pas regarder.

C’est pourquoi dans le parcours FJ, la majorité écrasante des services proposés consistent à aller voir une personne extérieure à toi, qui se connectera à une source extérieure à elle même, pour obtenir des informations sur ta situation.

L’ironie c’est que tout est déjà en toi, faut juste ouvrir les tiroirs…

Pourquoi on ose pas regarder en soi ?

Car si on ose regarder nos propres vérités intérieures, on va découvrir des informations qui ne nous feront pas plaisir et qui vont mettre en jeu notre :

• Responsabilité personnelle,
• Notre valeur personnelle
• Notre image de nous mêmes.

Dans ce processus qui consiste à regarder ses propres vérités, on va notamment trouver les raisons qui font que l’on a cette “sensation de vide en soi”.

Une de ces vérités est que l’on va découvrir est que :

• Il y a une part de nous-même qui aimerait s’en séparer.
• Il y a une part de nous-même qui ne veut pas s’en séparer.

Et cette vérité là, je te le garantie, elle pique les yeux.

En fait, quand on travail en libération émotionnelle, on va se confronter un nombre incalculable de fois à cette vérité… Sauf qu’à force de s’y confronter, on finit par l’accepter. Cette résistance, cette volonté intérieure de garder ce trauma commence à disparaitre.

Alors le traumas commence à se dissoudre.

Et donc, cette vérité montre une chose que l’on ne veut pas voir et qui est pourtant constaté dans 100% des cas :

Lorsqu’on a un trauma en soi, s’il est là, c’est bien parce qu’une part de nous veut le garder…

Comme nous avons la main sur ce qui se passe en nous, on se rend compte alors, qu’on est pleinement responsable de ce qui est encore en nous ou pas.

Et cette vérité, elle fait mal 🤣🤣🤣

Mais alors, pourquoi retenir en soi le trauma ?

Si on revient sur cette sensation de vide en soi, pourquoi une part de la personne atteinte de cette sensation voudrait la garder ?

En fait la réponses est assez simple :

• Il y a des avantages à la garder,
• Et des désavantages à s’en séparer.

Quand on prend une personne en séance de libération émotionnelle, dans 100 % des cas, on va retrouver la situation suivante :

• Une partie de la personne veut se séparer du trauma.
• Une partie de la personne veut garder le trauma.

Du coup, quand on part dans le besoin de comprendre pourquoi on a cette sensation de vide, on pourrait dire que la personne veut trouver les explications qui permettraient d’éliminer les “désavantages” à avoir cette sensation de vide en soi.

D’un côté, c’est bien.

Sauf que…

Comme la personne ne veut pas aller pleinement en soi, elle n’aura pas accès aux avantages à garder cette sensation de vide qui fait sentir si mal…

La guérison ne pourra pas être complète.

En effet, faire le choix de regarder son intériorité permet de faire face à aux différentes raisons qui font qu’on veut garder ce trauma en soi.

Cela demande du courage car une fois qu’on voit ses informations, on est alors responsable de les garder ou de les laisser s’en aller…

Autrement dit, regarder en soi, c’est savoir qu’on a totalement le choix de se libérer ou pas.

Un exemple d’avantage à garder un trauma

Prenons l’exemple d’une personne qui a une sensation de vide en soi depuis des années.

En séance de libération émotionnelle, on va lui proposer de lâcher prise sur cette sensation et elle choisira de dire “non”.

Elle choisit de garder cette sensation en elle alors que cette sensation la fait se sentir mal et que la personne vient en séance pour s’en libérer.

(Ceci est un résultat normal et attendu. Cela fait partie du processus de libération).

Quand on cherche alors la raison sous la raison du “pourquoi on ne veut pas laisser partir le trauma”, voici ce que l’on va trouver :

“Si je permets à cette sensation de vide de disparaître de moi, il y aura alors le vide et le néant et j’ai peur de disparaître.”

Conclusion ?

La personne pense que pour survivre il faut garder cette sensation de vide (qui ruine sa vie depuis des années). Celui lui permet de se sentir vivant.

Par conséquent, si elle la laisse s’en aller, elle pense qu’elle va mourir.

Mais est-ce factuellement vrai ou n’est-ce qu’une “vérité virtuelle” ?

Bien évidemment, dans la réalité, si la personne se libère de cette peur virtuelle de mourir, la sensation de vide disparaîtra et la seule chose que la personne va expérimenter, c’est sa Best Life Ever ! 🤣🤣🤣

Mais ça, la personne ne le sait pas encore car quand elle pense à se séparer de cette sensation de vide, une autre sensation bien dégueulasse fait son apparition :

Peur de disparaitre.

Et comme :

Plus une pensée ou une émotion est forte, plus on va avoir tendance à croire que le message qui vient avec est vrai et/ou va nous arriver.

La personne va alors battre en retraire et choisir de garder son trauma car elle croit qu’elle va disparaitre si elle le laisse s’en aller.

Sans s’en rendre compte, la personne est sous emprise de son mental ego, car elle croit à des informations, certes présentes, mais virtuelles.

Bref du bullshit quoi.

Bouddha disait il y a 2600 ans :

Le but de la méditation est de se libérer du contrôle et de l’emprise que les pensées ont sur nous.

Jesus disait :

La vérité te libèrera.

En associant les deux nous avons :

Le but de la méditation est d’observer et regarder sa propre vérité intérieure, qui nous libérera du contrôle et de l’emprise que les pensées ont sur nous.

Conclusion

Comme le dit Eckhart Tolle, le mental ego a pris possession de l’hôte (la conscience).

Tout le travail de libération émotionnelle consiste justement à augmenter/élargir son niveau de conscience, d’être de plus en plus conscient, d’où la “pleine conscience”, pour se rendre compte de cette myriade de décisions intérieures qui sont là… et qui produisent le résultat actuel :

Avoir en soi la sensation de vide en soi.

Et c’est pourquoi…

Que cette sensation de vide provienne du karma, du transgénérationnel, du syndrome du jumeau perdu ou de je ne sais quoi…

Une fois que la chose est là, tu peux choisir de t’en libérer ou pas…

Et dans les deux cas, c’est ton choix !

En fait, ce besoin de comprendre est en partie une fuite de l’exploration de l’intériorité, car ils nous rends hyper focus et dépendant d’information extérieures, alors tout ce que l’on cherche est déjà en soi.

Quand on cherche des informations à l’extérieure, on a accès qu’à une faible de partie qui permet de résoudre un trauma. L’autre partie est en soi.

On pourrait dire aussi que :

• Partir dans la quête d’information à l’extérieur de soi c’est démarrer son travail sur soi.
• Plonger à l’intérieur de soi permet de le finaliser.

Comme dit précédemment, comme on a peur de plonger en soi, on va tourner autour du rond-point pendant des années et prôner au “guérir prend du temps”. Alors qu’en fait, on s’évite soi-même.

On a juste peur de nos propres vérités.

La question qu’il faut se poser est celle-ci : ai-je choisis d’avoir peur de rentrer dans mon intériorité ou je me rends compte que j’en ai peur.

Si je n’ai pas choisis d’avoir peur, comment ça se fait que j’en ai peur ?

Je te laisse méditer sur celle-là 🙂

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