Maintenant qu’on sait qu’on a misé tout notre capital confiance sur les peurs, on peut renverser la tendance et pour cela il y a pas mal de techniques.
Premièrement il est fortement recommandé d’utiliser des techniques comme l’EFT et/ou la méthode Sedona afin de libérer un maximum de charge émotionnelle des programmes qui t’empêchent d’agir.
Tu peux aussi utiliser ce que je vais te montrer dans cet article mais il te faudra te préparer un peu afin de réfléchir (tu vas voir pourquoi).
Si on résume la situation : tu as envie de faire quelque chose, mais tu n’y arrives pas (manque de confiance en soi), tu vas alors basculer en mode victime et utiliser des excuses pour justifier le pourquoi du comment que tu n’es pas arrivé à faire ce que tu veux.
Voyons en pratique comment utiliser la petite technique.
Pour cela, prenons une situation de la vie quotidienne : tu veux aborder une super belle nana dans un café 😍
Situation : Aborder une fille dans un café.
- Point A : t’es à ta table dans ta zone de confort.
- Point B : Papoter avec cette belle nana et plus si affinités lol.
En théorie, tout semble fluide et facile et pour autant… dans la pratique tu n’arrives pas à lever ton cucul de ta chaise… Eh ouais… entre le point A et le point B il y a notre amie la peur qui va venir nous casser les bonbons avec son scénario catastrophe qui ressemblera un peu à ça :
T’es fou, imagine qu’elle te jette en public, tout le monde va se foutre de toi.
Conclusion tu ne vas rien faire, car tu viens de voir ce qu’il va se passer, alors à quoi bon se lancer puisqu’on connaît déjà le résultat ?
En fait tu crois dur comme fer “avoir vu le résultat”, mais la vérité est que ton mental te fait uniquement voir une des possibilités.
Et comme tu as bien plus confiance dans les prédictions de ton mental que dans les prédictions de tes désirs, tu vas être un bon élève et ne rien faire du tout !
Conclusion, tu n’oseras pas et resteras dans ta zone de confort.
Bref, comment faire pour arriver à parler avec la nana ?
Toute l’astuce consiste à trouver entre le point A et le point B une action intermédiaire que tu es sûr de pouvoir faire tout en oubliant le résultat final.
Relis bien cette phrase, car c’est là, la clé !
Quand tu as trouvé cette action, tu vas te visualiser la faire encore et encore et encore en y ajoutant de l’émotion, car normalement cette action t’excite, car elle te rapproche de ton but.
Une fois fait, tu auras “câblé” ton cerveau sur l’action en elle-même et non sur le résultat final négatif.
Lorsque la situation se présentera, tu pourras faire cette action avec bien plus de facilité.
Exemple d’action intermédiaire :
Je peux me lever de ma chaise, passer devant la nana, la regarder et lâcher un “bonjour” tout en sortant du café pour mater un texto ou fumer une clope.
Pour mon cerveau, je ne cherche donc pas tout de suite à parler avec elle et choper son tel.
Je cherche juste à :
- Marcher pour sortir du café,
- Lâcher au passage un bonjour sans m’arrêter.
Ensuite je me visualise le faire, encore et encore en y mettant de l’émotion et je ne cherche qu’à accomplir cette action.
Mon but n’est plus alors :
- De parler avec la nana, d’avoir son tel ou de sortir avec.
- Mais de sortir du café, passer devant elle et lâcher un bonjour.
Du coup quand la situation se présente dans la vie réelle et que j’applique ma petite technique, cela me permet de voir si la nana réagit au Bonjour ou pas.
Si c’est le cas, c’est cool, et si ce n’est pas le cas je m’en fous car dans les deux cas, j’ai réalisé mon objectif et je suis gagnant.
Et c’est là tout le génie de la technique.
Ma visualisation ne consistait pas à imaginer comment ça se passerait, ce qu’elle me dirait, mais uniquement ce que je peux contrôler : mes actions physiques.
Autrement dit,
- Si elle ne me répond pas : j’ai gagné, car je suis sorti du café et dit bonjour.
- Si elle me répond : j’ai gagné aussi, car j’ai fait mes actions et en plus elle me répond, c’est donc “tout bénéf”.
Conclusion dans les deux cas j’ai accompli ce que je peux maîtriser : mes actions.
Du coup, je me suis mis un objectif 100% gagnant !
Et ici c’est ça la clé : j’ai choisi en réfléchissant un objectif où je suis sûr de gagner.
Ceci change toute votre psychologie en l’utilisant régulièrement et cela augmente dramatiquement votre confiance en vous.
Au lieu de laisser votre mental choisir le scénario catastrophe, vous choisissez le scénario gagnant.
Bien sûr cela vous demande d’avoir envie de prendre le contrôle de votre vie… et donc d’y mettre un peu du vôtre.
Comme le succès construit la confiance, si je me visualise et conditionne à une action où je suis 100% gagnant quoiqu’il arrive, j’ai déjà gagné avant même d’avoir commencé.
Par conséquent, quand vient le moment de passer à l’action, je suis déjà dans une émotion positive, car quoiqu’il arrive… je sais que c’est gagné !
Avant tu savais que tu avais perdu d’avance, car tu avais mis toute ta confiance dans le scénario catastrophe et cela te paralysait.
Maintenant tu as choisi toi-même de répéter dans ta tête l’action correspondant au scénario 100% gagnant.
Finalement comme expliqué dans l’article précédent…
La confiance en soi n’est qu’une question de choix.
Alors cette action intermédiaire dépend vraiment de chacun.
Pour d’autres plus timides, cela peut juste être capable de marcher pour sortir du café, et regarder la nana droit dans les yeux (qu’elle vous regarde ou pas) et continuer de sortir (sans rien dire).
Pour d’autres, cela pourrait être de lui demander l’heure.
Pour d’autres, cela pourrait être de la regarder depuis la table et lui sourire.
Pour d’autres, cela pourrait être de tenter de croiser son regard depuis votre table.
Chacun ici est différent et c’est à toi de jauger ce qui te permet de gagner à 100% car tu sais que tu peux déjà faire cela ou que tu es sûr de pouvoir faire telle ou telle action.
Ici on cherche à appliquer le concept suivant :
Comment fait-on pour manger un éléphant ? Réponse : une bouchée à la fois !
Autres exemples d’actions intermédiaires
- Parler en public :
Quand je faisais du marketing de réseau à mes débuts, impossible de parler en public et de faire mes propres présentations.
Aussi voici ce que mes parrains me faisaient : venir au tableau en fin de réunion (quand chacun regardait son Facebook) afin que je note les dates des prochaines réunions.
Ainsi j’étais techniquement “devant le public” sans vraiment être devant car personne ne me scrutait et tout le monde s’en foutait un peu.
Suite à cela j’ai pu devenir conférencier et faire des séminaires jusqu’à 500 personnes sans aucun problème ni même le trac.
J’étais en fait impatient d’aller sur scène.
Vous l’aurez compris, l’action intermédiaire ici était d’arriver à écrire quelques dates sur le tableau en me concentrant sur une seule chose : aller au tableau, écrire et me barrer vite fait, bien fait.
Quand j’étais un peu moins flippé, ils me faisaient ensuite passer à l’étape suivante : faire un témoignage sur scène.
- Déposer des flyers en magasin :
Ici pareil, j’avais trop la honte, j’avais peur que les clients du magasin se foutent de moi.
Action intermédiaire :
Si je pousse la porte du magasin, que je dis : Excusez-moi madame, est-ce que vous acceptez le dépôt de flyers, alors j’ai gagné.
Je me conditionnais alors en boucle :
- Je pousse (la porte),
- Je rentre,
- Je questionne.
Mon mantra était alors : je pousse, je rentre, je questionne.
Du coup, mon cerveau ne se préoccupait plus du scénario catastrophe, car je le forçais maintenant (via la répétition) à ne se concentrer que sur l’action intermédiaire.
J’en oubliais alors le résultat final qui n’était de toute façon pas de me ressort…
- Je sais marcher pour sortir d’un café et dire un bonjour (le reste ce n’est pas mon affaire).
- Je sais entrer dans un magasin et poser une question (le reste ce n’est pas mon affaire).
- Je sais aller au tableau et écrire 5 dates (le reste ce n’est pas mon affaire).
Tu vois, le mental, lui, va toujours chercher midi à 14 heures afin d’aller envisager des trucs complètement bidons afin de ne pas te faire bouger.
En fait il va envisager des choses sur lesquelles il n’a pas le contrôle et comme tu n’as pas le contrôle et lui non plus, cela te fait entrer dans l’insécurité, car incertitude du résultat.
Te voilà pris par la peur, et, paralysé, tu ne feras rien…
Car la vérité c’est que :
- Tu ne maîtrises pas la réponse de la nana du café…
- Tu ne maîtrises pas la réponse de la nana du magasin…
- Tu ne maîtrises pas la réaction du public quand tu écris les dates au tableau…
Par contre…
- Tu maîtrises tes pensées,
- Tu maîtrises tes visualisations,
- Tu maîtrises tes émotions (par la maîtrise de tes pensées),
- Tu maîtrises tes choix,
Et tu sais quoi ?
Ne pas choisir est un choix !
Ton mental, lui, adore se focaliser là-dessus, sur le regard des autres, et s’imaginer ce qu’ils pourraient bien penser et ainsi de suite.
Sauf que tout cela te paralyse et t’empêche d’écrire 5 putains de dates sur un tableau blanc… car ton cerveau/mental est trop obnubilé par l’humiliation éventuelle, hypothétique que tu pourrais recevoir si…
Et si…
Et si…
Et si…
C’est le syndrome du “Et Si”…
Pour ceux qui sont Chaser, cela doit vous faire rire, car le Runner est bourré de ce genre de pensées, conclusion il ne fait jamais rien, n’ose jamais rien, fait du surplace…
- Et si je contacte mon Chaser et qu’il me rejette…
- Et si ma famille n’aime pas mon Chaser…
- Et si je m’ouvre émotionnellement et qu’il me laisse tomber…
- Et si je reprends contact et qu’il me crache à la gueule…
- Et si…
Alias : mon mental adore les scénarios catastrophes et j’en suis addict.
Conclusion sur la technique
Voici en résumé la technique pour la mettre en pratique :
- Choisis une situation où tu aimerais avancer mais où tu te sens bloqué.
- Trouve une action intermédiaire entre ton point A (Situation actuelle) et le point B (Résultat).
- Cette action doit être focalisée uniquement sur ce que tu peux maîtriser à 100%.
- Visualise-toi en train de faire cette action encore et encore en y mettant de l’émotion.
- Répète cela plusieurs fois par jour s’il le faut.
- Ensuite, mets-toi à l’épreuve dans la vie réelle GO !
Finalement pour résumer cet article on pourrait dire la chose suivante :
Mets-toi des objectifs tellement bas afin d’être sûr et certain de pouvoir les réaliser.
À l’époque je détestais lire et mon mentor nous disait :
Lisez une ligne et 1 minute d’un audio de développement personnel par jour.
Si c’est trop, baissez l’objectif : 1 ligne et 1 minute par semaine !
Au début on rigolait, car cela paraissait trop bidon pour avoir le moindre impact.
Et il nous expliqua ceci :
Chaque fois que vous vous fixez un objectif et que vous le réalisez, votre cerveau enregistre la chose suivante :
Je l’ai dit et je l’ai fait alors je suis un gagnant.
Or que font les gens ? Ils passent leur vie à s’imaginer des scénarios catastrophes et/ou à se mettre des objectifs trop grands dès le départ.
S’ils tentent quelque chose, ils ne voient pas le bout du tunnel et n’y arrivent pas.
Leur cerveau enregistre alors :
Je l’ai dit et je ne l’ai pas fait alors je suis un perdant.
Conclusion depuis avril 2012 j’ai lu plus de 150 livres de développement personnel et certains plus de 10 fois chacun ainsi que des milliers d’heures d’audio.
Tout cela en commençant par un seul objectif :
1 min d’audio et une ligne d’un livre par jour
Et tu sais quoi ? Même cet objectif qui paraît ridicule, je n’ai pas réussi à le tenir la première semaine…
Alors j’ai constamment réarrangé mes objectifs.
Je suis passé à :
1 minute et une ligne par semaine.
Fin de semaine, j’avais lu 50 pages d’un livre, et 3h d’audio, et là je peux te dire que tu te sens trop bien !
Car ce que tu cherches ce n’est pas vraiment d’atteindre l’objectif et d’être un killer, mais de construire ta confiance.
Le succès construit la confiance.
Bon alors, que vas-tu décider : Tes peurs ou ton coeur ?
La dépendance affective est un état dans lequel une personne est fortement attachée à une autre personne et ressent un besoin constant de sa présence pour se sentir bien.
Cette dépendance peut être très dommageable pour la personne qui en souffre ainsi que pour son entourage.
Nous allons donc explorer les différents aspects de la dépendance affective et fournir quelques conseils pour aider les personnes qui en souffrent à surmonter ce problème.
Définition de la dépendance affective
Comme dit précédemment, la dépendance affective est un état émotionnel dans lequel une personne est fortement attachée à une autre personne et ne peut pas fonctionner normalement sans elle.
Les personnes qui souffrent de dépendance affective ont souvent des relations qui sont caractérisées par un déséquilibre de pouvoir et de dépendance émotionnelle.
Par ailleurs, les personnes dépendantes affectives peuvent ressentir une forte anxiété, une peur intense de l’abandon, un besoin constant d’attention et de validation, et un manque de confiance en soi.
Les causes de la dépendance affective :
La dépendance affective peut être causée par un certain nombre de facteurs différents, notamment les expériences de l’enfance, les problèmes émotionnels sous-jacents, les traumatismes passés, et les modèles de comportement appris.
Les personnes qui ont été élevées dans des familles où l’affection et la validation ont été conditionnelles peuvent développer une forte dépendance affective envers les autres.
Les personnes qui ont subi des traumatismes tels que l’abus physique, l’abus sexuel, ou la négligence peuvent également développer une dépendance affective pour se sentir en sécurité.
Symptômes de la dépendance affective
Les personnes qui souffrent de dépendance affective peuvent présenter un certain nombre de symptômes, notamment une forte anxiété, une peur intense de l’abandon, un besoin constant d’attention et de validation, un manque de confiance en soi, et un comportement jaloux et possessif.
Les personnes dépendantes affectives peuvent également avoir des difficultés à établir des limites saines dans leurs relations et peuvent souvent se sentir submergées par les émotions des autres.
Voici les traits que l’on retrouve chez une personne dépendante affective :
≫ Besoin constant de validation et d’approbation de la part des autres.
≫ Peur intense de l’abandon ou de la solitude.
≫ Tendance à s’oublier et à sacrifier ses propres besoins pour répondre aux besoins des autres.
≫ Difficulté à établir des limites saines dans les relations.
≫ Prise de décisions en fonction des attentes des autres plutôt que de ses propres besoins ou désirs.
≫ Crainte de se sentir rejeté ou abandonné, même dans des situations où cela est peu probable.
≫ Difficulté à supporter la solitude ou à être seul.
≫ Insatisfaction et anxiété chroniques lorsque l’on n’est pas en relation amoureuse.
≫ Tendance à s’engager rapidement dans des relations et à s’attacher intensément à son partenaire.
≫ Difficulté à rompre une relation même si elle est toxique ou non satisfaisante.
≫ Chercher constamment à sauver ou à aider les autres, même si cela a un impact négatif sur sa propre vie.
≫ Sentiment de vide ou d’incomplétude lorsque l’on n’est pas en couple.
≫ Recherche constante de l’amour ou de l’attention des autres pour se sentir bien dans sa peau.
≫ Tendance à s’isoler ou à éviter les relations qui ne répondent pas aux attentes.
≫ Nier ou minimiser les problèmes dans une relation pour maintenir la relation.
Il est important de noter que la présence de certains de ces symptômes ne signifie pas nécessairement qu’une personne est dépendante affective, mais qu’ils peuvent indiquer un besoin de réflexion et de travail sur soi pour établir des relations plus saines et équilibrées.
Déséquilibre de pouvoir relationnel :
Le déséquilibre de pouvoir est un aspect important des relations caractérisées par la dépendance affective.
Il s’agit d’un schéma dans lequel une personne a un pouvoir disproportionné sur l’autre, ce qui peut se manifester de différentes manières comme par exemple :
≫ La personne peut se sentir incapable de prendre des décisions importantes sans l’avis de son partenaire.
≫ Elle peut avoir l’impression de ne pas pouvoir exprimer ses opinions de peur de perdre l’amour de son partenaire.
≫ Elle peut se sentir obligée de satisfaire les besoins de son partenaire, même si cela va à l’encontre de ses propres besoins.
≫ Elle peut tolérer des comportements abusifs ou toxiques de la part de son partenaire, par peur de perdre la relation.
Traitement de la dépendance affective
Le traitement de la dépendance affective peut être difficile, car il implique souvent de changer des modèles de comportement profondément enracinés.
Les thérapies cognitives comportementales (cliquez ici pour prendre rdv) peuvent être utiles pour aider les personnes à identifier les pensées et les comportements qui alimentent leur dépendance affective et à les remplacer par des modèles plus sains.
Les thérapies axées sur les émotions, telles que l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing), EFT ou la thérapie de groupe, peuvent également être bénéfiques pour aider les personnes à gérer leurs émotions et à développer des compétences en matière de communication et de relations interpersonnelles.
Conseils pour surmonter la dépendance affective :
Si vous souffrez de dépendance affective, voici quelques conseils qui peuvent vous aider à surmonter ce problème :
≫ Apprenez à vous aimer et à vous respecter vous-même.
Travailler sur l’estime de soi est essentiel pour réduire la dépendance affective.
≫ Identifiez les comportements qui alimentent votre dépendance affective et travaillez à les modifier.
Par exemple, si vous avez tendance à mettre les besoins des autres avant les vôtres, apprenez à établir des limites et à dire non.
≫ Trouvez des activités qui vous passionnent et investissez du temps dans ces activités.
Cela peut vous aider à développer une identité individuelle plus forte et à réduire votre dépendance aux autres.
≫ Entourez-vous de personnes positives et bienveillantes.
Des personnes qui vous soutiennent et vous encouragent à devenir la meilleure version de vous-même.
≫ Pratiquez la pleine conscience.
Cela vous aidera à être plus présent dans l’instant présent et à apprendre à gérer vos émotions de manière plus efficace.
Conclusion :
La dépendance affective est un problème émotionnel complexe qui peut avoir des conséquences négatives pour la personne qui en souffre ainsi que pour son entourage.
En comprenant les causes sous-jacentes de la dépendance affective et en travaillant à modifier les comportements qui alimentent cette dépendance, il est possible de surmonter ce problème.
Les thérapies cognitives comportementales et les thérapies axées sur les émotions peuvent être très efficaces pour aider les personnes à gérer leur dépendance affective et à développer des relations plus saines et plus équilibrées.
En suivant les conseils ci-dessus, les personnes qui souffrent de dépendance affective peuvent apprendre à s’aimer et à se respecter elles-mêmes et à établir des relations plus saines et plus durables.
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